Ce film se propose d’observer sur quatre saisons ce qu’est devenu le projet de société imaginé aux Rives-Du-Cher et comment celui-ci pourrait être repensé.
Wejna. Aurélie Mandon utilise souvent ce pseudo emprunté aux indigènes de Patagonie pour signer ses billets sur internet. Il signifie avoir du jeu, errer, vagabonder, comme un enfant abandonné ou perdu, se balancer, voyager ou encore exister, être. Plus curieuse du voyage que des destinations, plus sensible aux aventuriers qu'aux aventures, elle aime explorer les états d'errance, les situations ou les lieux qui nous mettent en déséquilibre.
En 2003, elle part quinze jours rejoindre une amie française expatriée en Corée du Sud. La magie de l’exotisme opère. Elle troque une carrière d’attachée de presse contre une activité free-lance autour de la communication et du journalisme et poursuit les voyages avec cette volonté de comprendre l’Autre et l'influence des géographies. Elle utilise l’écrit, la photographie, le film et explore les nouveaux médias.
Fascinée par les villes et la façon dont elles conditionnent les hommes, elle explore l'hyper urbain à Montréal, Lima, Shanghai, New York, Baltimore, Miami, Buenos Aires, Amsterdam, etc.
Son dernier documentaire, « Toyong, l'entre-saison » tente de comprendre à travers le portrait intimiste d'une jeune doctorante à Séoul, les récentes mutations sociales de la Corée du Sud.
Société française - 52 mn - Aurélie Mandon
Ce film se propose d’observer sur quatre saisons ce qu’est devenu le projet de société imaginé aux Rives-Du-Cher et comment celui-ci pourrait être repensé.