Ettore Scola, pour son premier long-métrage, égratigne le mâle italien, il compose une fresque protéiforme de la Femme : qu’elle soit mère surprotectrice, sœur déshonorée, bourgeoise encanaillée, prostituée au grand cœur, Puritaine affranchie, épouse dévouée, la « donna » est l’obsession constante des hommes qui gravitent autour d’elle.