À partir de textes classiques (Racine) et modernes (Renaudot), Cantarella et une classe d’hypokâgne se penchent sur la ponctuation, « respiration attentive et vitale du texte et du corps, chemin de l’écoute » : les questions que pose le metteur en scène à ces jeunes gens sont celles de l’attention à l’autre et à son propre corps, celles aussi de l’incarnation d’un texte et de son sens physique.