Ils sont nés en France ou sont arrivés très jeunes avec leurs parents algériens ou marocains, quand le pays avait besoin de bras pour se reconstruire.
Aujourd’hui, Sheerazad, Idriss, Abdel, Nordine, Foudil et Fayçal s’investissent dans des métiers passionnants et contribuent à la construction du roman national.