Les nouveaux paysans (60 mn)
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Cinq expériences de retour à la terre en Ardèche, de la plus utopique à la plus réaliste, de la plus marginale à la plus intégrée. L’Ardèche, délaissée par les plans de développement capitaliste de l’agriculture moderne, s’est vidée de sa population autochtone. Cet exode a laissé place à toutes sortes d’expériences marginales de retour à la terre. Ces nouveaux paysans, suivant leurs objectifs agricoles et leur manière de vivre, se sont intégrés de façon très différente à la société locale.
Les tipis : ils vivent sous des tentes d’indiens et pratiquent, après le retour à la terre qu’ils ont dépassé, le retour à la nature.
Longo Maï : c’est une coopérative ouvrière de production pour remettre en valeur les terres à l’abandon. C’est une communauté dont la philosophie est fondée sur l’émulation collective, le travail volontaire pour vivre autrement.
Pierre Rabhi et sa famille : précurseur du retour à la terre, il est installé depuis dix-huit ans, il pratique une agriculture qu’il préfère appeler organique plutôt que biologique.
Gilbert Vieillerobe : il a prouvé qu’on pouvait faire autre chose que de l’élevage de chèvres dans ces zones de montagne. Élu président du Syndicat ardéchois de la Châtaigne, il a fait reconnaître sa compétence agricole et sa combativité.
Paul Lénaux : il est revenu sur la terre que l’exode l’avait contraint à quitter. Il s’interroge sur les possibilités pour les nouveaux et les anciens paysans de vivre ou de revivre au pays.
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Ardèche - Gilbert Vieillerobe - Longo Maï - Paul Lénaux - Pierre Rabhi - retour à la terre
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