Environ 1200 viols et actes de contrainte sexuelle sont dénoncés chaque année en Suisse. C’est plus de trois par jour. Mais ce n’est que la pointe de l’iceberg.
85% des personnes violées ne dénoncent jamais leur agresseur. Comment s’en remettent-elles ? Comment font-elles pour s’en sortir ? Est-ce même possible ?